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Une épopée poético-comique où la modernité déboule en peau de bête !
Entre humour mordant et rimes malicieuses, ce texte slalome joyeusement entre le silex et le Wi-Fi, la grotte et la fibre. Un regard vif, drôle et tendre sur notre vertige numérique. À lire, à déclamer, ou à picorer comme on croque un os bien affûté !
La Vendée Océane inspire les poètes de toute la France auxquels se sont liés depuis un demi-siècle ceux de l’Essor
Poétique. Plus d’une trentaine sont venus conter ici les multiples aspects, l’histoire et les charmes de cette terre
imprégnée de la mer. Et c’est en poésie que le lecteur peut ainsi voguer au gré des rêves et récits illustrant ce pays dont l’horizon est celui de l’Océan.
À Bangkok, les oiseaux chantent la nuit… et dorment le jour.
Tous, sauf un.
Mais d’où vient donc Tiblou, ce drôle de petit oiseau bleu ?
Dolores, 14 ans, n’a qu’un rêve : aller aux « States », y retrouver son père et le ramener à la maison sur son île de Pago-Pago. À 18 ans, elle débarque à Houston (Texas) sans un dollar en poche. Elle ne sait pas encore qu’elle arrive au coeur d’une Amérique rongée par le racisme, les luttes politiques et la guerre au Vietnam, et qu’elle devra même y affronter la puissante CIA. À des milliers de kilomètres, dans le Dakota du Sud, Louis-Joseph Rapiteau, issu d’une longue lignée d’émigrants français venus d’Anjou et de la Nouvelle France, se passionne pour l’enseignement et les Amérindiens. Il va devoir quitter la ferme familiale pour l’université. Dolores et Louis-Joseph vont affronter les incertitudes de la vie, s’opposer aux idées ségrégationnistes, trouver la force de vivre et aimer. Il leur faudra de longues années avant de trouver la paix, choisir la bonne route.
Dolores retrouvera-t-elle son père ? Louis-Joseph fera-t-il reconnaître toutes les richesses et valeurs de ses amis «indiens»?
Une saga américaine où l’on retrouve tous les éléments ayant construit une nation
Cette “couronne de sonnets” est fortement intéressante, avec l’effet caractéristique du genre : reprise du dernier vers du poème précédent en ouverture du poème, et reprise dans le dernier sonnet des 14 vers ouvrant chacun des sonnets précédents. C’est tout de même un bel exercice de virtuosité réussi. L’ensemble constitue une sorte de récit amoureux, en autant d’épisodes qu’il y a de sonnets, une sorte de petite comédie. C’est léger, ce n’est pas dépourvu d’humour, voire d’une forme d’autodérision.
À plus de 90 ans, Pierre Menanteau écrivait encore des poèmes empreints de lumière et de beauté. Issu du bocage vendéen, il resta fidèle à ses racines rurales, trouvant son inspiration dans la nature, les gens simples de son enfance et les paysages changeants de l’Ouest. Poète profondément humaniste, marqué par les guerres mais porté par une foi tenace en la vie, il était selon ses proches un enchanteur. Son secret : avoir su préserver l’émerveillement de l’enfance et transmettre l’amour reçu en héritage.
Des attentats de Paris aux parfums de l’Inde coloniale, en passant par l’Occupation, l’Espagne et les îles grecques, dans des atmosphères et des tonalités diverses, chacune des histoires qui composent ce recueil est un voyage sensible et souvent poétique au plus près de nos intranquillités – qu’elles soient provoquées par l’état du monde ou nos tourments secrets.
Grigris la souris part en vacances chez son cousin le mulot.
Une nouvelle aventure illustrée par Gaby.
Un livre d’éveil à la lecture pour les enfants à partir de 4 ans.
Dans un fracas apocalyptique, la foudre s’abat sur l’antenne relais GSM que déteste Anastasia. En ce jour d’orage, elle n’aurait jamais dû s’en approcher, elle s’effondre, inconsciente ! À son réveil, une énorme surprise l’attend.
Mars 2020, après les élections, Anastasia récemment élue, va être confrontée non seulement à la cupidité, à la méchanceté et à l’égoïsme des hommes, mais aussi aux caprices de l’univers.
À peine après avoir surmonté la crise du Covid 19 de 2020, l’humanité encore sous le choc va devoir affronter un ennemi bien pire encore, capable de générer la fin de notre monde.
Entourée de ses amis et d’une aide mystérieuse, Anastasia parviendra-t-elle à nous sauver ?
Trois sorcières vivent au fin fond de la forêt. Sans coeur et sans émotion particulière autre que le mépris, elles ont engendré bien des souffrances autour d’elles, se complaisant lorsque les humains, comme les animaux étaient malheureux et sans défense.
Es-tu prêt ou prête à explorer cette vie de sorcière ?
Es-tu prêt ou prête à découvrir le passage du mal vers le bien ? Alors, je t’invite à lire le récit qui va suivre et, de chapitre en chapitre, tu comprendras toute la magie de ce conte.
À chaque occasion, à chaque rencontre, Roger Ducrot rappelle combien il regrette qu’on ne fasse pas, en Vendée, plus grand cas des peintres vendéens. Il en est tant, de bons et de très bons, qui exposèrent au XXe siècle, au Salon Yonnais, à la Société vendéenne des Arts de Fontenay-le-Comte, au Palais des Congrès de Saint-Jean-de-Monts…
Sa galerie personnelle expose ici onze peintres, presque tous des amis, tant la peinture est pour lui, affaire de compagnonnage : André Astoul, Michel Bourmaud, Marie-Thérèse Bretagne, Jean Chevolleau, Albert Deman, Jacques Golly, Léopold Marboeuf, Charles Milcendeau, André-Charles Nauleau, Marie Renard et Henry Simon, à partir de ses chroniques dans Le cercle des peintres disparus.
Ses talents de dessinateur humoristique avec sa Collection de machines à écrire et ceux de l’artiste peintre, occupé près de 60 ans « à taper dans la peinture », sont présentés ici, à partir de son Journal, par l’historienne et amie Florence Regourd, avec admiration, respect et affection.
Considéré comme le roi des arbres et vénéré depuis nos ancêtres les Gaulois, le chêne, « celui de qui la tête au ciel est voisine, selon La Fontaine, Et dont les pieds touchent à l’empire des morts », va vous livrer une partie de sa longue histoire.
Ce beau vieillard du Plessis-Landry enraciné à la Mothe-Achard raconte les évènements qui l’ont profondément marqué tout au long de sa vie. Certains se sont réellement passés et d’autres, bien que plausibles, ont été romancés. Le lecteur n’aura pas de mal à se projeter dans cette rétrospective de quatre siècles traversés par notre ami et pourra imaginer de nouvelles scènes.
Plus de 80 portraits de bateaux exceptionnels commentés et 220 photographies grand format, du frêle esquif au légendaire vieux gréement, viennent harmonieusement s’illustrer au fil des 168 pages de l’ouvrage, sous les plus belles lumières et en format paysage.
Vous y retrouverez l’Hermione, Le Belem, Pen Duick, les incontournables Sinagos, et tant d’autres, bricks, goélettes, troits-mâts barque, issus de tous les continents et de toutes les mers du monde.
Préfacé par le navigateur Eugène RIGUIDEL, le livre propose un large choix d’ambiances, escapades maritimes entre mers d’huile et fortes houles, “pétoles” et gros “clapots”, sur des sites aussi emblématiques que les Régates du Bois de la Chaise, les Fêtes Maritimes de Brest et de Douarnenez, la Semaine du Golfe du Morbihan, les Sept-Îles à bord du Sant-C’hireg.
Jude, jeune biologiste, décroche un contrat d’un an au Japon dans le plus prestigieux centre d’études agronomiques. Il en profite pour anticiper son départ et assouvir un rêve : effectuer le pèlerinage des 88 temples bouddhistes sur l’île de Shikoku.
Ses rencontres et la plénitude que lui offre sa pérégrination l’amènent à réfléchir sur les valeurs existentielles. Il se retrouve même confronté au phénomène de l’illusion et de ses mystérieuses manifestations qui troubleront son acuité.
Malheureusement, respect et honnêteté, vertus de cet homme au cœur pur, ne sont pas des qualités universelles et sa crédulité va lui être fatale. Son voyage va tourner au drame…
Laissez-vous surprendre par le rebondissement de cette affaire criminelle qui avait mis en jeu la vie de Gérard d’Amboise pour sa fabuleuse découverte, le Chirus Ikigaï dans Piège sur la Vie.
Joël est l’histoire rêvé de deux frères dont le drame de la naissance de l’un a boulversé à jamais leur destin. Une vie imaginéecomme tragique, comme si elle avait pu être autrement. Ce récit émouvant est empreint d’une colère et d’une frustation palpable que l’on ressent à travers les dialogues sans fard.